TAJÊ demande reconnaissance et justice pour 19 femmes ézidies brûlées vives

Le Comité diplomatique du Mouvement des Femmes Ézidies Libres (TAJÊ) a lancé un appel urgent au président irakien et à plusieurs instances internationales, réclamant l’identification de 19 femmes ézidies brûlées vives par l’État islamique (EI) à Mossoul en 2016. Le mouvement exige également que cette atrocité soit officiellement reconnue comme un acte de féminicide.

Comment un garçon ezidi a réussi à échapper à Daech et comment nous avons tous échoué

J a été plongé dans un cauchemar sous le contrôle de l’EI. Capturé avec sa famille dans la ville ézidie de Sulagh en Irak, il a été emmené à Raqqa, où il a été contraint de rejoindre un camp rempli d’autres jeunes recrues. Pendant cinq mois, lui et d’autres ont été endoctrinés dans l’idéologie de l’EI, formés au maniement des armes et poussés à commettre des actes de violence horribles.

Le Parlement suisse reconnaît le génocide des Ezidi

Le 17 décembre 2024, le Conseil national suisse a officiellement reconnu les atrocités de masse commises contre le peuple Ezidi par l’État islamique (EI) en 2014 comme un génocide. Dans une décision historique, le législatif suisse a condamné la campagne systématique de violence, y compris les meurtres de masse, les violences sexuelles, les déplacements forcés et la destruction du patrimoine culturel, perpétrée par le groupe terroriste dans le nord de l’Irak.